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 [Perso en pause] Kyana Ashriel, Assailant des Heaven | Finit et Validée

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Ruby Regaina

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MessageSujet: [Perso en pause] Kyana Ashriel, Assailant des Heaven | Finit et Validée   [Perso en pause] Kyana Ashriel, Assailant des Heaven | Finit et Validée Icon_minitimeMar 14 Aoû - 1:25


© Saaya.
Kyana Ashriel







Nom : Ashriel;
Prénom(s) : Kyana Sheila Abigail, plus communément appelé Kyana;
Surnom : Souvent on abrège tout simplement son prénom, donc Kya, Kyna, ou encore son deuxième prénom, Sheil';
Age : Dix-sept ans;
Date de naissance : Elle est née le 07 du mois de Septembre;
Origines : Irlandaises; (en vérité, Japonaises et françaises)
Orientation Sexuelle : Bisexuelle;
Sexe : Féminin;
Rang : Assailant;
Clan : Heaven.










Mentalité.
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En surface, elle est…

Gentille : Kyana est gentille, oui c'est le mot. Toujours prête à rendre service, elle est connue pour son aide fournie à n'importe qui. Un ennemi blessé ? Elle ne l'achèvera pas, le soignera pour ne pas qu'il meurt. Elle n'a aucun mal à faire les corvées à la place des autres…

Joviale : … Et ce, toujours le sourire aux lèvres. Et oui, chez la jeune fille on va de sourire en sourire, en passant par le rire. Tout le monde la voit comme un rayon de lumière, en oubliant que chaque lumière a sa part d'ombre…

Sociale : Elle se fait des amis un peu partout, ignorant l'appartenance aux clans. Elle est du genre à s'entendre avec beaucoup de monde, et elle est assez connue comme quelqu'un de gentil et sympathique.

Loyale : Elle ne trahit jamais ses amis, cela ne lui passera jamais par la tête. La trahison est quelque chose qui n'est pas dans sa nature. Elle est donc très loyale envers son clan et montre sa loyauté de diverses manières, prête à se sacrifier pour. Mais une question subsiste tout de même : à qui est-elle loyale ?

Courageuse : Elle va de l'avant, joue avec le feu, qui à se brûler les doigts. D'ailleurs, elle n'a pas peur de la mort ou de se blesser. Courage ou folie, après, à vous de voir…

Sarcastique : C'est bien quelque chose qui n'est que rarement accepté chez les Heaven, et quelque chose que Kyana n'arrive pas à refouler : les railleries, remarques sarcastiques, ainsi qu'une attitude assez désinvolte, sont de mise avec elle. Certainement le seul point vraiment sombre qu'elle laisse entrevoir dans cette lumière…

En effet, elle a presque tout pour être dans les Heaven ou les Estate, mais derrière ce camouflage plus qu'habile…

…Se cache la véritable Kyana, qui est…


Comédienne : Elle sait stimuler ses réaction, maquiller ses véritables sentiments, les impressions qu'elle donne aux autres, et fait croire facilement à l'autre telle ou telle chose. Elle manipule sans scrupules et ce, tellement bien, que personne ne le voit, même les moins dupes.

Menteuse : Les mensonges et Kyana, ça fait un. Ils sont en parfaite harmonie, et la jeune fille les utilisent à la louches dans n'importe quel moment, pour n'importe quoi. Bien sûr, ce trait de caractère avec le dernier, ce qui lui permet de tromper et manipuler ainsi que de mentir sans que l'on s'en aperçoive.

Rebelle : Derrière sa façade de lèche-botte, son caractère rebelle crie au scandale. Car, lorsqu'on lui demande son aide, sa clémence ou quelconque autre chose, elle a envie instinctivement de le remballer ou de lui foutre sa botte militaire dans la gueule. Donc si jamais vous avez découvert sa vraie personnalité, vous verrez bien assez vite qu'elle ne peut pas être contenue dans une boîte de limites bien longtemps…

Sadique : Ses sourires habituels et gentils se transforment alors vite en sourires carnassiers. Elle tire un malin plaisir dans le malheur des autres, et, si elle s'écoutait, elle tuerait ses adversaires rien que pour l'excitation qu'elle en tire. Le sang l'attire plus qu'autre chose, et la douleur, c'est son quotidien de plaisir…

Hargneuse : La haine est, chez elle, une habitude. Elle déteste beaucoup de gens, de choses, surtout lorsque ça s'apparente à "Faire la lèche-botte et faire les corvées". Aussi, la haine, même invisible sur son visage, peut la pousser à se révéler. Mais, chez elle, c'est plus un moteur qu'un défaut.

Traitre : Et oui, derrière son air loyal, ses sacrifices pour le clan, elle est plus que déloyale. Elle trahit sans qu'on s'en rende compte, et les premiers à être trompés sont les Heaven. Ah, si vous saviez à quel point cette fille les manipule, c'est à la limité d'hilarant…

Franche : Elle a beau mentir, elle est cash avec les gens. Directement, elle vous demandera de quel clan vous êtes, même devant un professeur, quitte à lui manipuler la mémoire ensuite. Elle vous dira aussi si vous la faites chier, tout aussi simplement qu'elle pourra vous dire que vous allez pisser le sang dans quelques minutes si vous ne la lâchez pas.

Enjôleuse : Elle séduit, manipule, sans cesse. Il lui suffit pour cela de regarder quelqu'un dans les yeux ou d'avoir un contact, et ainsi aidée par un pouvoir (ou pas…) elle vous manipule plus aisément. Elle n'hésite pas une seconde à le faire, pour s'approprier quelque chose la séduction n'est qu'une étape.

Indécente : Se trimballer en veste ouverte sur le devant et vêtue d'un simple soutif en dessous ? "Hey, c'est cool ça !" qu'elle vous répondra. A la limite de l'exhibitionnisme, cette fille n'hésitera pas à aller loin dans la séduction… Aussi, sans séduire et pour une question de praticité, elle peut se trimballer en vêtements légers… Très, très légers…

Calculatrice : Un revers de l'intelligence. Elle manipule, certes, mais prévois tout. Un plan qu'elle aura ficelé aura beaucoup de mal à capoter. Elle est aussi très méfiante et ne fait pas confiance très facilement.

Et, bien sûr, ce caractère s'accompagne de quelques manies qu'elle a du mal à refouler…

Alcoolique : Boire, tester ses limites, se saouler, c'est un peu sa spécialité. Des fois, elle se rend sur les toits pour s'enfiler une gniole de whisky. Et pourtant, vous remarquerez que l'alcool n'est pas une faiblesse chez elle. C'est, certes, une échappatoire à son passé, mais c'est aussi un moyen pour elle de libérer ses pensées et de mieux réfléchir.

Vulgaire : Elle ne peut pas s'empêcher de laisser s'échapper les insultes, allant du simple merde à l'enculé en passant par des insultes plus... originales. Elle a beaucoup de mal à se contrôler, et s'est déjà à demi sectionné la langue pour ne pas casser sa couverture en lançant une insulte...

Automutilatrice : Quand elle est stressée, qu'elle se sent en manque de quelque chose ou qu'elle ne peut tout simplement pas s'en empêcher, elle s'automutile. Tout le monde le sait, même les membres des Heaven à qui elle cache beaucoup de choses. Ça se remarque aux nombreuses cicatrices sur ses bras, ses jambes… Mais ça a un avantage : elle est insensible à la douleur et la mort ne lui fait pas peur.

Gourmande : Elle a tendance à manger à tout bout de champ des bonbecs… Notamment des chuppa chups. Une sucette à la bouche, elle se sent déjà mieux, et ça lui évite souvent quelques crises de manque qui la mènerait à l'automutilation…

Claustrophobe : Kyana n'est pas sans peurs, en effet elle n'en a que deux. L'une d'elle est… la peur des endroits clos. Se retrouver dans une salle de classe, ça peut aller, mais jamais dans un petit endroit où elle doit rester seule. Cela déclenche chez elle de violente crise de panique, et lors des crises de panique elle se met à… trouver un coin où elle se recroqueville. Donc veillez à ne jamais la mettre dans un placard ou dans un ascenseur. (Effet secondaire de sa crise de panique : elle défonce un peu tout autour d'elle)

Et, pour clôturer son caractère, il y a sa part de fragilité…

Sensible : Derrière ce monstre insensible qui tue sans le moindre remord se trouve quelqu'un qui peut, avec les gens qu'elle aime, devenir plus sympathique, attentionnée et… sensible. La moindre chose qui leur fera du mal l'affligera aussi. Et, dans son fort intérieur, les même douleurs, le même passé, les même pleurs, reviennent sans cesse…

Triste : L'enfant brisée qu'elle a été reste toujours en elle. Cette coquille vide qu'elle était a prit une partie de son âme, et ne la lui rendra jamais. Alors, quand elle se sent triste pour une quelconque cause, lorsque son passé la rattrape, elle se recroqueville sur elle-même et pleure. Ça peut arriver n'importe quand, n'importe où.

Donc, oui, Kyana est tout sauf parfaite. Certains plus méfiants le voient assez vite, d'autres se font embobiner comme de vulgaires bleus… Mais, au fond, derrière son véritable caractère, on peu voir qu'il reste du bon en elle…







Physique
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Sa taille : Kyana est de taille moyenne. Avec son mètres soixante-dix, elle dépasse légèrement la moyenne. Mais, malgré tout, elle trouve que c'est la taille parfaite : ni trop grande, ni trop petite, et qui permet ainsi vitesse et habileté…

Son poids, sa musculature, sa stature : Une soixantaine de kilos… Et rien que du muscle et des os. On peut le voir sur ses bras ou sur ses jambes, Kyana a des muscles fins, longs et noueux qui ne la gênent pas pour les mouvements rapides. Des épaules un peu plus larges et développée, une taille fine et une stature un peu plus puissante que la moyenne, restant néanmoins toujours féminine…

Vêtements : La jeune fille peut s'habiller très simplement… Souvent vêtue d'une veste, d'un pantalon et de ses mythiques bottes militaires, il se peut qu'elle échange un simple tee-shirt par des vêtements qui montre son nombril ou ses épaules… Et oui, elle n'est pas pudique, et elle profite de ses habits pour séduire.

Ses cheveux : Ils sont verts chlorophylles, couleur assez atypique, mais qui lui va bien. Leur longueur varie entre le mi-court et le long, allant tantôt jusqu'à ses épaules et tantôt jusqu'à son dos.

Ses yeux : Ses deux iris sont verts reptiliens eux aussi, vifs et plein de vie. Ils reflètent ses émotions à la perfection, surtout avec les pupilles qui s'étrécissent ou se dilatent selon les sentiments. Parfois, selon les pouvoirs utilisés ou les émotions ressenties, ses iris passent du vert au rouge en quelques minutes.

Autres caractéristiques : Elle a un tatouage uniquement noir d'encre qui représente un serpent qui s'entoure autour de son mollet gauche, caché par ses bottes militaires. Elle porte le bracelet des Heaven à son poignet droit, et certains disent qu'ils ont entraperçus une chaîne avec une plaque à son cou… Mais rien n'a été prouvé.







Il était une fois...
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Prison de glace et de pierre, toi qui as enfermé pour l'éternité une jeune enfant caméléon, tu mérites de la voir s'échapper…

Une petite chose tremblotante était recroquevillée dans un centre de la pièce. Ses os étaient saillants, ses larmes tombaient sans s'arrêter sur le sol. Sa gorge était sèche depuis quelques heures déjà, et son ventre la faisait souffrir. Puis ses glandes lacrymales s'asséchèrent, et l'impression de voler prit la petite. Mais en vérité, ce n'était pas aussi grisant, aussi bénéfique, aussi beau. Car la lueur dans ses yeux s'était éteinte depuis longtemps. Car les battements de son cœur s'étaient raréfiés depuis un long moment. Car elle n'était plus qu'une coquille morte et vide abandonnée par son dernier utilisateur dans cette pièce froide. Oui, elle n'était que ça. Une peau morte, une porte donnant sur le néant, un passé sans présent ni avenir. Cela faisait combien de temps qu'elle était là, assise sur les pierres froides de cette sorte de cachot, à pleurer, trembloter, avoir peur ? Une heure ? Une semaine ? Un mois ? Des années ? Elle n'avait aucune idée. Pour elle, le temps était un train et une limace. Et, dans cette prison de pierre, elle ne voyait pas les jours ni les nuits passer. Pas une seule fenêtre ou lumière ne l'éclairait.
Ses longs cheveux verts entouraient son visage creusé de cernes aux yeux rouges et tombaient en mèches humides compactes sur le sol. Son regard vide et pâle passait en revue ce qu'il pouvait entrapercevoir dans la pénombre froide et sans fin. Son petit corps se balançait presque imperceptiblement d'avant en arrière, presque comme prit d'une maladie. Puis sa main chercha à nouveau à tâtons un bout de pierre aiguisé qui trainait toujours près d'elle, sans pourtant qu'elle ne le veuille. Sous ses doigts froids, même le sol lui semblait chaud. Puis elle le trouva. La pierre tant convoitée. Pas une pierre ronde dont on se servait autrefois pour bâtir les cloisons ou les maisons, mais une pierre noire d'encre luisante même dans le noir, aiguisée comme un couteau. Une obsidienne. La petite fille ramena son avant-bras, la face la plus fragile qui exposait les veines tournée vers le haut. Puis, comme fiévreusement, elle apposa la partie coupante sur sa peau. Elle appuya avec force sans craindre la douleur et, dans un mouvement rapide, glissa sur toute la longueur de son avant-bras.
Quelque chose se déclencha dans son cerveau, puis elle sentit que ça faisait mal. Mais ses yeux restaient vides. La douleur était son quotidien et elle ne le remarquait plus… Un liquide chaud coula sur son bras. De sa seconde main, elle joua un moment avec les perles vermillon avant de porter sa menotte à sa bouche. Elle sentit d'abord ses doigts avec un plaisir non dissimulé anormal pour une petite fille de son âge, puis ouvrit sa bouche et lécha avidement son propre sang. Le goût du fer, qui était présent comme toujours dans sa bouche, mais cette fois en plus vif, satisfit ses papilles. Puis, alors qu'elle allait reprendre sa pierre, elle remarqua que ses doigts avaient pris une autre consistance. Ils lui semblaient… presque liquides et rouges, comme le sang qu'elle avait ingurgité plus tôt.
Une lueur s'alluma dans ses prunelles vertes pâles, un mélange d'excitation sadique et d'impatiente. Mais, aussi, de l'incompréhension et du doute. Elle se demandait tout simplement comment elle avait fait ce tour de magie. Elle bougea lentement sa main, remarquant que ses doigts suivaient toujours sa main et son poignet, puis elle essaye d'attraper sa pierre. Ses doigts passèrent au travers comme un vulgaire courant d'air. Ses yeux prirent une teinte de vie en plus, et la petite fille, toute excitée à l'idée de pouvoir s'enfuir, se déplaça à quatre pattes sur le sol en cherchant du bout de son autre main encore consistante un trou dans le sol, assez grand pour pouvoir contenir du sang en assez grande quantité. Elle trouva ce qu'elle cherchait et poussa un petit rire nerveux, qui ressemblait à un crissement métallique. Elle mit son bras juste au dessus puis attendit quelques minutes, fermant les yeux…
Lorsqu'elle rouvrit les yeux, le sang coulait jusqu'à ses pieds. Elle ne réfléchit pas longtemps, la peur que son bourreau n'arrive et ne la surprenne lui tenaillant soudain le ventre, et plongea ses deux mains dans le sang. Elle ferma les yeux, les plissa avec volonté et se concentra. Son corps fourmilla un moment, puis elle sentit le sang monter sur ses doigts, puis sur ses avant-bras, puis lui recouvrir tout le corps. Elle rouvrit les yeux, se regarda en profondeur. Oui, c'était bien ce qu'elle avait pensé. Elle avait fusionné avec son sang, était devenu liquide et rouge vif. Ses yeux, visibles parmi le sang qui était son corps à présent, avaient repris leur vie passée. Elle était libre.

Vous qui courez après le caméléon, faites attention aux alliés imprévus…

Elle courait dans les ruelles sombres de la ville. Ses semelles couinaient sur le sol mouillé par la très récente pluie. Derrière elle, elle entendait ses poursuivants crier et se rapprocher lentement d'elle. Elle n'était pas assez rapide. Car, du haut de ses dix ans, elle n'avait pas encore reprit assez de poids pour pouvoir atteindre une vitesse et une endurance convenable. Elle était faible. Mais elle n'avait pas peur. Elle voulait juste survivre, et fuyait, pour l'instant, pour atteindre ce but. Son seul et unique but. Après tout, quand on a plus rien dans la vie que la vie elle-même, que nous reste-t-il à faire ? Se sauver.
Un bruit inattendu attira son attention et elle arrêta de courir, se retournant pour regarder derrière elle. Un chuintement bizarroïde. Elle aperçut juste à temps ce qu'il fonçait sur elle pour s'écarter à temps, s'engageant dans une autre ruelle : une boule de feu. La chaleur rase la jeune fille, qui réussit néanmoins à ne pas se faire brûler. Elle continue de courir dans la ruelle dans laquelle elle s'est engagée. Arrivé au bout, au lieu de trouver un embranchement qui mène à d'autres ruelles encore plus sombres… elle trouve un mur. De trois mètres de hauteur. Un cul-de-sac.
Elle se retourne, les dents et les poings serrés. On pointe un flingue sur elle, elle met ses bras en croix pour se protéger, même si elle sait que ça n'empêchera pas la balle d'atteindre sa tête ou son cœur. Elle ferme les yeux en signe d'espoir, et la balle part dans un résonnement tonitruant. Elle entend le coup, mais ne le sent pas arriver. En vérité, il n'est pas arrivé. Et, quand elle rouvre ses yeux, timidement, elle voit d'abord la tête surprise de ses poursuivants. Et ensuite, la balle. Une balle en fer et en plomb assez petite, qui lévitait fixement à vingt centimètres de son front.
Les bras de la fille retombent le long de son corps, et la balle, elle, tombe à terre. Puis les deux disparaissent sous la capacité à être un caméléon de la jeune fille. Cette dernière qui s'enfuit, sans qu'on l'entende, ne la sente ni ne la voit. Elle passe juste à côté de ses assaillants qui étaient toujours stupéfait. Elle pensait avoir découvert une nouvelle de ses capacités. Laquelle, après… Mais ses pouvoirs lui avaient sauvés la vie. Une nouvelle fois.
Son corps toucha quelques choses de massif, chaud et… extrêmement costaud. Elle recula précipitamment, son camouflage se dispersant. Elle regarda l'homme qu'elle avait percuté. Un mec énorme, plein de muscles, aux épaules larges et à la chevelure blonde rousse flamboyante. Ses deux yeux fauves la fixaient. Et elle, elle regarda derrière elle, puis entendant que ses poursuivants continuaient la chasse, elle se remit à courir. Pour être aussitôt arrêtée par deux grosses mains qui la tinrent en place. Elle fut attirée par la force vers le corps de cet homme et, dans une étreinte, ils disparurent.

Et le caméléon trouva une véritable famille…

Reyn. C'était le nom de l'homme qui l'avait sauvé. Qui l'avait recueilli. Qui l'a ensuite entraîné pour qu'elle maîtrise ses pouvoirs, et, par la même occasion, qu'elle en découvre d'autres. Ils étaient les même, tous les deux des caméléons. Mais la fille, elle, avait un principal défaut : elle était sensible. Elle pleurait sans cesse. Avait peur pour un oui ou pour un non. Changeait de sentiments d'un moment à l'autre. Et puis, elle n'avait pas d'identité. Alors, un jour où elle avait réussie à fusionner pour la première fois avec la terre, Reyn lui demanda à nouveau, doucement, en la fixant dans les yeux, s'étant accroupi pour être à la hauteur de la petite fille.

- Quel est ton prénom ?

La fille se cloitra immédiatement dans une bulle impénétrable. Ses deux mains enserrées fiévreusement ses bras, et elle se balançait imperceptiblement d'avant en arrière. La moindre des questions qu'on lui posait sur elle la faisait sombrer dans cette état de quasi-démence. Reyn l'avait bien compris, mais il continuait d'insister. Il voulait sauver cette petite fille qui avait prise de la place dans sa vie. Alors il lui mit ses deux mains sur les épaules et dit :

- La dernière fois, tu as réussie à me faire comprendre que tu étais Irlandaise. Enfin, c'est ce que tu as dis, et je ne pense pas pour autant que ce soit la vérité. Mais si tu ne veux pas me dire autre chose sur toi, même en me mentant, je te comprends, et bien je te donnerais un prénom.

La petite fille cessa aussitôt de se balancer et leva ses deux prunelles vertes sur l'homme qui lui avait donné une nouvelle vie. Oui, elle lui en était très reconnaissante. Mais à présent, une lueur nouvelle brillait dans ses yeux : de la joie. Jamais elle n'avait ressentit ce gonflement puissant qui soulageait le corps de ses peines et blessures. Jamais elle n'avait ressentit autre chose que du vide, du plaisir sanguinaire et un brin de tristesse. Aussi, elle attendit, les yeux remplis de paillettes, en regardant droit dans les yeux, ce qu'elle faisait rarement, son interlocuteur.

- Je te nommerais Kyana. Kyana Sheila Abigail. Et je te donne mon nom de famille. A présent, pour tout le monde, même pour toi, tu seras Kyana Ashriel, fille adoptive de Reyn Ashriel. C'est d'accord ?

La petite Kyana, tout nouvellement nommée, hocha la tête, un peu dans le brouillard. Puis la joie qu'elle éprouvait lui comprima la poitrine et les larmes perlèrent aux coins de ses yeux. Elle se jeta au cou de son père adoptif et le serra dans ses bras. C'était la première fois qu'elle serrait un être humain dans ses bras. Elle avait une famille, elle était heureuse, que rêver de plus pour cette petite qui avait été brisée presque irrémédiablement… ?

Trois ans plus tard… le jour de la pluie vermillon.

Kyana parlait avec Reyn de ses capacités récemment apprises, même si elle n'en contrôlait pas une et ne savait même pas déclencher la seconde : la matérialisation et la retenue d'attention. Son regard était fuyant et froid. Elle avait comprit qu'à chaque fois que Reyn la regardait, lui posait une main sur l'épaule ou pensait à elle, une partie de son âme venait s'accumuler en elle. Et cette pensée la l'insupportait. Elle saignait mentalement en pensant qu'à chaque fois, elle tuait des gens. Qu'elle tuait son plus précieux ami, son père, son amour aussi. Et puis, elle avait secrètement découvert qu'elle pouvait obliger n'importe qui à faire n'importe quoi, rien qu'en lui suggérant. De la manipulation. Ce qui avait ajouté un peu plus de poids dans sa poitrine. Elle manipulait Reyn. Peut-être depuis le début. Sans qu'elle s'en aperçoive. Et elle s'en voulait.
La main de Reyn se posa sur la sienne, et Kyana l'enleva aussitôt d'un geste brusque. Ses yeux étaient agrandis par la peur. La peur de lui faire du mal, la peur de le faire mourir à petit feu, la peur de le voir sombrer par sa faute. Ses mains étaient à présent crispées sur ses genoux, les jointures blanchies. Elle refusait de tuer les gens, surtout ceux qu'elle aimait, qui étaient chers à ses yeux. Alors elle parla enfin.

- Je pense que je devrais partir…

Elle ne comprit pas de suite le sens de ses paroles, mais Reyn, lui, si. Une lueur de tristesse traversa ses yeux fauves, et Kyana se rattrapa aussitôt.

- Je veux dire… je suis en train de te tuer, merde ! Et je ne veux pas… Donc qu'est-ce que je dois faire ? Qu'est-ce qu'il faut que je fasse ?! s'énerva-t-elle.

C'était la première fois qu'elle s'énervait pour autre chose que pour son apprentissage. Sa poitrine était comprimée sous le coup du chagrin et ses yeux allaient verser d'un moment à l'autre des larmes - les premières depuis trois ans. Reyn, lui, ne disait rien. Il n'avait jamais été du genre à parler pour ne rien dire. Kyana aimait, d'habitude, cette part de lui, mais aujourd'hui ça la mettait hors d'elle.

- Bordel ! cria-t-elle en se levant brusquement, renversant sa chaise en arrière.

Elle partit en courant dans ce qui était sa chambre. Elle rangea à la va-vite quelques unes de ses affaires dans son sac, avec des gestes outragés et des insultes ça ou là. Puis, alors qu'elle croyait que Reyn allait venir pour l'empêcher de partir, ce qu'il faisait toujours, elle entendit un grand fracas, des cris d'hommes et…

- Mon Dieu, souffla-t-elle avec effroi.

Elle courut dans l'autre pièce, ouvrant la porte à la volée, et tombant sur une scène macabre. Ses yeux virent, mais son cerveau ne capta pas. Des hommes armés, du sang, et au centre du tableau… un homme agonisant. Empêchant les hommes armés de bouger en les rendant lent, Kyana accourut. Elle soutenait Reyn, essayant de lui transmettre son énergie en inversant sa capacité d'absorption. Jusqu'à ce qu'une main se pose sur son visage. Les doigts pleins de sangs vinrent toucher sa joue avec tendresse. Les deux iris dorés comme ceux d'un lion de Reyn brillaient et la regardaient. Mais ils n'étaient déjà plus là. C'est alors que, la respiration sifflante, il lui dit :

- Kyana… cherche l'école… tu y seras à ta place…

Elle plissa les yeux, une larme coula sur sa joue.

- Ne meurt pas ! Je n'ai que toi ! répondit-elle.

Elle serra sa main, fort, à s'en faire mal, et elle pleura : il venait de partir. Pendant quelques instants, elle continua à laisser libre court à sa tristesse, puis elle posa le corps de son père, de son mentor, de son ami, sur le sol, les bras croisés sur sa poitrine, et elle lui ferma les yeux, faisant disparaitre ses deux prunelles dorés que la vie avait quittée… Par sa faute. Elle déposa un baiser sur son front, puis elle entreprit de prendre le couteau à l'un des attaquants. Eux, d'ailleurs, qui ne pouvaient toujours pas bouger. Une fois le couteau en main, elle le fit glisser sur son avant-bras et fit gicler son sang. Sans une once de douleur, elle trempa deux doigts dans son propre sang et traça deux longs traits rouges vermillons sur le front de son père adoptif.

- Adieu, murmura-t-elle.

Elle ferma les yeux. Puis, en moins d'un instant, envolé sa tristesse, ses remords, son deuil. Un sentiment nouveau vint lui parcourir les veines et la sortir d'une certaine torpeur : la haine, la vengeance. Elle se releva, se tourna vers les assassins de la personne qui lui était le plus cher au monde. Ce dernier qui aurait mérité un enterrement décent. Mais elle n'avait pas la tête à ça. Car, dans son crâne, la vengeance tonnait comme des bruits de tambours annonçant l'orage.

- Mourrez, souffla-t-elle en y mettant toute sa volonté et ses sentiments.

Un pentacle apparut dans ses deux yeux verts reptiliens qui se mirent à briller. Toute la magie qu'elle avait accumulée depuis tant d'année - depuis sa naissance !- se libéra dans ses veines. Son sang arrêta de couler et sa coupure se referma aussitôt. Les objets autour d'elle disparurent comme par enchantement, disparus de la circulation. Puis, lorsque Kyana serra les poings… boom ! Les soldats, qui n'avaient toujours pas eu le temps de bouger, ont vu leurs globules rouges aller à une vitesse supérieure à la lumière et… ils ont explosés. Littéralement. Leur sang a giclé dans toute la pièce, enfin de ce qu'il en restait, et a repeint les murs. Alors, pendant que Kyana tombait à genoux, relâchant tous ses pouvoirs autour d'elle, la pluie tomba. Une pluie rouge de sang. Le jour de la pluie vermillon.

15 ans, alcoolique, bipolaire et nymphomane. [PARTIE DECONSEILLEE AUX ÂMES SENSIBLES]

Elle porta avec fièvre le verre à ses lèvres. Le whisky réchauffa aussitôt son corps transit par le froid qu'il faisait dehors. Elle rit à la blague que lui fit son amie juste à côté d'elle, même si elle était pourrie. Elle demanda un énième verre au barman avec une voix mielleuse. Malgré la grande quantité d'alcool en tout genre qu'elle ingurgitait depuis deux ans, elle ne s'était retrouvé que deux fois vraiment bourrée. Après son cinquième verre de whisky, elle semblait encore sobre. Un miracle ? Non, elle tenait bien l'alcool, c'était tout.
Assise à un bar, Kyana, qui avait ses quinze ans depuis quelques semaines, cherchait sa proie du soir avec un sourire qui pouvait passer pour de la joie, mais qui était du plaisir à l'événement à venir. Car, chaque soir depuis un an et demi, voir un peu plus, elle choisissait un gars ou une fille dans une boîte ou un bar, puis elle s'entrainait. A quoi ? Tout simplement à manipuler. Non pas en s'aidant de ses pouvoirs, mais à manipuler sec. En charmant. Ce qu'elle faisait ? Elle charmait, couchait avec la personne ou lui faisait croire ça en lui manipulant ses souvenirs, puis lui fauchait du fric.
Un gars maigrelet rentra dans le bar. Il était seul, et n'attirait pas le regard. Mais Kyana le regarda plus attentivement. Il affichait un sourire suffisant sur son visage, et portait des vêtements de marques, et non pas de contrebande comme la plupart des mecs qui venaient dans les bars miteux. Et puis, on remarquait aisément pour qui savait voir que ses poches étaient remplies de fric. Kyana passa sa langue sur ses lèvres.

- Voici le pigeon de cette soirée, ricana-t-elle doucement pour que personne ne l'entende.

Le gars se dirigea vers le fond du bar, là où se menaient les parties de poker et de jeux d'argent quelconque. De mieux en mieux, pensa la jeune fille, qui se leva et suivit discrètement l'homme en touchant ça et là à des personnes en leur enlevant au passage un peu de leur vitalité. Elle pouvait maintenant en puiser à la dose qu'elle voulait quand elle touchait quelqu'un. Les regards des personnes touchaient se tournaient vers elle. Bande d'idiot, souriait-elle mentalement.
Elle arriva près de la table de poker, où la partie allait commencer. Elle demanda avec innocence si elle pouvait se joindre à eux. Les gens refusèrent d'abord, jusqu'à ce qu'elle le répète en mettant de la volonté dans ses paroles. Elle s'assit donc à la table et hocha la tête lorsqu'on lui demanda si elle avait de l'argent à parier. Pour quoi faire quand on ne perd pas ? pensa-t-elle. Elle était assise juste à côté de la personne qu'elle avait suivit. Et, dès le début, elle lui parla. D'abord simplement, puis avec une voix mielleuse qui attirait les abeilles pleines de pognon comme lui. Au fil de la partie (elle gagnait haut la main), elle vit que le mec allait se laisser emballer (par une fille de quinze ans, oui oui…).
Elle commença donc, presque comme naturellement, à faire parcourir ses doigts ça et là sur le bras du mec. Lentement, elle sentait que c'était dans la poche. Comme à chaque fois. Et ça l'amusait. Alors qu'elle allait gagner, elle regarda soudain la montre bas de gamme qu'elle avait à son poignet.

- Ohhhhh ! dit-elle en feignant la surprise. Mince alors ! Il faut que j'y aille !

Elle se leva subitement, mit son manteau avec des gestes un peu maladroits, volontairement, et sortit en trombe du bar. Une fois dans l'air frais, au dehors, elle attendit qu'un taxi passe à proximité. Car, comme elle était à Londres, il n'y avait que ça. Et, comme prévue, le mec plein de fric sortit quelques instants après elle. Il lui proposa de la raccompagner. Elle accepta avec un sourire enjôleur. Et ce n'est qu'une fois dans le taxi qu'elle décida que c'était bon…
Le mec était totalement torché après les quelques verres qu'il s'était enfilé lors de sa partie. Il avait gagné plus de fric qu'elle n'aurait pensé, et autant dire qu'il était plein aux as. Aussi, il lui a suffit juste d'une invitation muette, d'un regard, pour que le mec l'embrasse. En retour, elle sourit juste. Un vrai bleu ce mec… Puis elle commença à puiser dans son énergie, lentement, et lorsqu'elle sentit qu'elle était repue, elle le ralentit à tel point qu'il ne pouvait plus bouger ni penser. Elle passa ses mains dans les poches de son blouson à lui, en sortit les liasses de billets, puis fouilla dans son pantalon. Enfin, dans ses poches… Elle en sortit la carte bleue, tous les billets qu'il avait sur lui et lui piqua sa montre, puis elle lui effaça la mémoire et elle descendit tranquillement du taxi, n'oubliant pas de payer un supplément.
Elle marcha un bon moment seule, un sourire satisfait aux lèvres. Puis elle sentit qu'on l'observait et elle se retourna. Elle vit une ombre se décomposer au coin de la rue, et une lettre voleter un instant dans le vent frais. Qui se posa à ses pieds. Perplexe, elle regarda autour d'elle. Plus personne dans les rues sombres de Londres à cette heure-ci. Elle se baissa et ramassa la lettre. Une adresse, une simple. Mais elle la recconue de suite. L'école.

Direction le Japon.

[La suite n'est pas dévoilée. Aussi, nous pouvons vous dire que Kyana est arrivée et est restée un an solitaire, puis un autre dans les Naught. Ensuite, elle a été soit disant bannie de son clan et a été engagée dans les Heaven.]









Pouvoirs
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Du à son ancienne appartenance aux solitaires, Kyana possède 5 pouvoirs, et non quatre comme une Assailant.

Caméléon : Kyana a la particularité d'être un caméléon. Elle peut se fondre dans le décor à merveille, oui, mais pas seulement ! Elle peut aussi prendre la consistance de la matière qu'elle touche, et ensuite la contrôler, même en dehors de son corps. Changement de camouflage toutes les dix minutes, pas moins, sinon son organisme ne le supporte presque toujours pas.

Contrôle de la vitesse : Kyana contrôle la vitesse. Pas seulement celle des objets ou des corps, mais aussi d'une simple substance, comme le feu ou la terre. En augmentant la vitesse fortement, la moindre vibration dans l'objet ou la matière fait que cette dernière explose…

Attention : Kyana attire l'attention, et pas que. Dès qu'un regard se pose sur elle, qu'on pense à cette jeune fille ou, encore mieux, si on la touche, un peu de votre énergie vous échappe et part se stocker dans son corps (ça marche aussi pour chaque attaque physique ou pas portée sur elle). Elle peut doser la quantité prise à la personne. Lorsque ensuite elle utilise cette capacité, elle peut décider de relâcher à tel ou tel rythme l'énergie emmagasinée pour améliorer ses capacités physiques ou magiques. Ses yeux verts deviennent alors rouges vermillons, légèrement fluorescents et ses pupilles prennent la forme d'un pentacle miniature qui prend presque tout l'œil. Une fois qu'elle a utilisé cette capacité, elle se sent super faible et pour éviter de sombrer dans un coma pendant quelques temps, elle doit… embrasser quelqu'un, oui oui (ou un animal ou un arbre ou un humain qui lui passe à côté).

Matérialisation : Rien qu'en y pensant, la jeune fille est capable de créer les molécules suffisante à l'objet auquel elle pense. Ça peut être une arme comme un animal, en passant par un humain. Elle peut aussi, par la même occasion, dématérialiser. D'ailleurs, la matérialisation/dématérialisation lui permet de se téléporter elle ou des objets. Mais ça la fatigue vite, et au bout de quelques matérialisations, elle se sent épuisée (et on en revient à la méthode citée plus haut pour regagner de l'énergie).

Manipulation : L'art de manipuler l'esprit des gens… Kyana sait déjà le faire à merveille, mais il existe aussi des personnes très méfiantes qui ont besoin qu'on leur manipule l'esprit par la magie… Ainsi, Kyana peut persuader quelqu'un de quelque chose, peut effacer un souvenir récent (une semaine maxi), créer des illusions ou, tout simplement, manipuler afin d'obliger quelqu'un à faire quelque chose. Mais si jamais elle utilise trop longtemps cette capacité sans s'arrêter, ses iris changent de couleur pour devenir rouges (au bout de 20-30 minutes). Aussi, le manipulateur ne peut pas se faire manipuler, et Kyana est immunisée contre tous pouvoirs qui l’obligent à faire quelque chose (contrôle, paralysie du système nerveux, amnésie, télépatie, tous ce qui touche à son cerveau est "locké") ainsi qu'aux pouvoirs qui vous "trompent" ou manipule les sens (sensokinésie, contrôle de la douleur, ainsi qu'illusion...) et elle peut aussi "sentir" facilement ce que l'autre trafique, s'il bluff ou non.






Derrière l'écran…
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MessageSujet: Re: [Perso en pause] Kyana Ashriel, Assailant des Heaven | Finit et Validée   [Perso en pause] Kyana Ashriel, Assailant des Heaven | Finit et Validée Icon_minitimeMer 15 Aoû - 18:05

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