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 Chroniques à mi-mots pour une enfant tout de rire et de sucre

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Madara A. Roussanov

Madara A. RoussanovMessages : 31
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MessageSujet: Chroniques à mi-mots pour une enfant tout de rire et de sucre   Chroniques à mi-mots pour une enfant tout de rire et de sucre Icon_minitimeDim 30 Sep - 17:33


© Saaya.
Madara Anastasia Roussanov







Nom : Roussanov
Prénom(s) : Madara Anastasia
Surnom : Ania.
Age : 17 ans
Date de naissance : 20 décembre
Origines :Russe /Japonaise
Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle
Sexe : oui ! /PAN/ féminin.
Rang : Défender
Clan : Estate










Dis moi la vérité.
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Saya pinça les lèvres et renifla avec mépris. La plus jeune la regarda l'air passablement désemparée et décida finalement qu'elle s'en fichait. Ses yeux de perles pétillèrent de milles feux avant de retrouver leur couleur originelle : d'un rose brûlant, presque rouge. Elle abandonna sur place l'autre fille et s'accrocha au bras d'un garçon aux longs cheveux , foncés, boisés.
« _Kazu-kun!» elle pépia gaiement , véritablement ravie de le voir apparaître. Et pourtant ils étaient rare les gens qui étaient heureux de le voir franchir le pas de leur porte, dans ce coins de l'établissement tout du moins. Madara elle, se contrefichait pas mal de ce que pensaient les autres. Et elle se fichait encore plus de ce que pouvait bien penser Kazuki à son sujet. En fait il y avait peu de chose dont elle ne se fichait pas. L'autorité de son chef ? Elle s'en moquait. Les colères du lieutenant ? Rien à faire non plus. De manière générale c'était une gentille fille, plutôt loyale d'ailleurs mais seulement voilà : Madara avait la fichue manie de n'écouter qu'elle même et de n'obéir qu'à certains ordres. Elle s'octroyait le droit de refuser un certain nombre d'ordre. Et toujours avec ce sourire, adorable.

Mais probablement que ça aussi, Kazuki s'en tapait complètement. Il l'avait souvent réprimandée quant à son insubordination, mais elle n'en avait pas fait cas. Il se comportait toujours comme ça avec tout le monde, alors ne l'avait pas pris personnellement. Ce qui mettait beaucoup le clan en colère aussi, c'était ses pleurs. Quand elle avait peur, qu'elle avait mal ou qu'elle était simplement triste : Madara pleurait. Elle n’essayait même pas de le contenir, de le cacher. Si elle avait envie de pleurer, alors elle le faisait et elle ne voyait pas bien pourquoi elle aurais du faire le contraire. D'une sincérité effarante pour une jeune fille de son age. Madara avait vraiment souvent les réaction d'un enfant avec sa manie de s’émerveiller de tout et n'importe quoi. Madara c'était avant tout ce genre de fille. Le genre qui riait par ce qu'elle était heureuse. Le genre qui souriait pour changer la face du monde et qui s'évaporait dans les nuages par ce qu'amoureuse de la poésie.

D'ailleurs Madara était souvent heureuse. Elle était heureuse par ce que ce matin là il faisait beau, par ce que quelqu'un était heureux, par ce vous lui aviez souris, par ce que vous l'aviez remerciée...la plus part du temps elle était juste heureuse de vivre. Elle souriait aussi souvent. Pas toujours par ce qu'elle était heureuse mais ça lui faisait tellement de bien de sourire un peu. Par ce qu'elle n'avait visiblement pas sa place dans ce clan violent et impitoyable. Quoique paradoxalement Madara ne se positionnait pas par rapport au bien et au mal, elle ne cherchait ni l'origine du premier, ni la source du second, pour elle tout était alternatif.
Douceur, Madara était douceur. Et par douceur ce n'était pas tant le fait qu'elle était incapable de se mettre en colère, car elle y était bien plus encline que la plus part des gens, mais plutôt qu'elle était vraiment gentille et remplie d'amour. D'ailleurs l'Amour était sa plus grande vertu. Elle demeurait persuadée que l'amour était le meilleur moyen d'obtenir un changement chez l'autre. C'était pour cette raison qu'elle devenait l'amie de qui en avait envie. Avec Kazuki c'était différent. Il ne voulait pas forcément devenir son ami mais elle l'avait regardé,zt tout ce qu'il respiré lui avait inspirer l'affection farouche quelle ressentait désormais pour lui. Madara deviendrait l'amie de ce garçon. Certes il ne lui avait pas clairement dit qu'il avait besoins d'elle ou simplement envie qu'elle reste à ses côtés, mais ça aussi elle s'en fichait complètement. Elle avait juste décidée qu'elle le suivrait. Elle le faisait donc. C'est probablement pour ça qu'elle est entrée chez les Estates. Forte de ses pouvoirs.

Timide en dépit du reste d'ailleurs, elle était comme un petit animal à apprivoiser. quelque chose de fragile et d'attachant.
Farouche. Madara avait toujours été une gamine avide de liberté et n'hésitait pas à fuit par les toits. Elle ne se laissait jamais attraper et a ce sujet elle n'avait pas changer. Comme un chat elle choisissait ses maître et ne se laisser atteindre que part eux. Il devenait impossible de poser la main sur elle sans qu'elle n'en ai eu le désir elle même.
Par antipode, raffinée et polie, bien élevée quoique trop expansive. En dépit du reste et sous son calme et sa douceur presque sans bornes, son pardon facile...il demeurais sa rancune tenace et sa colère tempête. Des crises de folie ou elle brisait tout ce qui lui tombait sous les mains jusqu'à tomber de fatigue. Intelligente en dépit de ses réaction enfantine, la jeune femme était doté d'un cerveau plus que compétant. (parfaitement bilingue).
Pourtant si on ne devait retenir qu'un mot de Madara se serait rire. Par ce que oui, Madara Riait toujours.

« _Tu m'écoutes Kazu-kun ? Saya à quand même dis que... »








La premier jour
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C'est un assemblage de première fois, qui lui avait fallut pour se rendre compte vraiment de qui il avait devant les yeux. Et même après , il restait dans l'air quelque chose d’irréel.

La première fois qu'il l'avait croisée, c'était au détour d'un couloir. Elle courrait à perdre haleine, en retard comme d'habitude. Elle semblait avoir un vrais problème avec la ponctualité, mais comme elle était bonne élève et parfaitement adorable les professeurs avaient fini par ne même plus prété attention a ses petits écarts d'horaire. En tout cas c'est à ce moment là qu'il l'avait entraperçue pour la toute première fois. Il avait été captivé par la couleur de ses cheveux-s'était la seule chose qu'il avait pus voir-Roses. Pas presque rosepas chimiquement roses, mais Rose. Clairs, presque blancs à la racine et plus intense aux pointes. Longs, coiffés en deux couettes un peu négligées, enfantines. Il ne pouvais pas le savoir mais ils ne gardaient pas toujours cette taille et cette couleur, bien qu'elle soit celle qu'elle arborait le plus naturellement du monde et ce depuis sa naissance. Soyeux et pleins de vie. Des cheveux qui volaient au tour d'elle,tels l'aura d'un ange. Elle était comme un ange. Sa vison n'avait duré qu'un quart de seconde et il se savait déjà perdu.

La seconde fois qu'il l'avait croisée, ce n'était pas au détour d'un couloir, mais plutôt aux alentours de quatre heures de l'après midi. Lui, il sortait de sa salle de classe et se rendait à la piscine pour le cour de sport. Elle , elle y était déjà et venait de sortir de l'eau. Elle avait retiré son bonnet de bain et libéré ses longs cheveux roses. Autre point frappant était la couleur de sa peau. Elle avait grandit dans le froid hivernal de la Russie, sa peau était pâle, immaculée, quoique rosie par l'effort. Son corps fin s'élançait gracieusement bien qu'elle demeura très petite pour une européenne, avec son mètre cinquante huit. Il avait été fasciné par la finesse de ses doigts, la discrétion de ses muscles et la légèreté de ses geste. Comme une danse parfaitement organisée. Le plus frappant restait cependant le calme qui transpirait de son être tout entier. Elle était calme. Pas [/i]staique[/i], pas immobile, mais calme. un calme sécurisant qui laissait sur les autres une profonde confiance et une sensation d'être parfaitement en sécurité. Même quand ce n'était pas le cas. Ce calme, semblable à un lac qui rentrait en désaccord complet avec le feu violent qui illuminait le fond de ses prunelles ardentes.

Ses yeux était deux rubis. Des pierres précieuses par excellence. Par ce que vivantes. des puits d'incarnat intense ou l'on pouvait deviner un paysage qui se mouvait. Les monts et les vallons qui venaient se perdre dans un océan rouge, glaçant et chaleureux a la fois. Violent , dont les vagues rageuse venaient se fracasser en permanence contre d'hypothétiques rochers en dents de loups. Un regard dont on ne ressortait jamais indemne, et qui affichait toujours la vérité. Les yeux de Madara ne mentaient pas. Jamais. Il avait voulut voir le reste, mais peine perdue. Il s'était retrouvé perdu, noyé ,déchiré au fond du gouffre de ses yeux si expréssifs.

La troisième fois qu'il l'avait croisée, ce n'était pas au détour d'un couloir ni au alentours de quatre heures de l’après midi, mais plutôt aux environs de la grande place alors qu'elle marchait en ville avec ses copines. Elle lui avait souris. Un sourire très doux qui avait mit l'accent sur son visage aux traits fins, encore un peu rond de l'enfance. Mais son air si tendre l'avait fait chanceler. Dans le fond il se demandait pourquoi une jeune fille comme elle avait pus se retrouver impliquer dans des histoires aussi sale que cette guerre de clans. Rien dans son visage, absolument angélique et son apparence chétive ne laisser entrevoir les capacités qu'elles pouvaient bien posséder. En fait, si vous lui aviez posé la question il vous aurait répondu qu'il la trouvait jolie. Incroyablement jolie, même. Il aurait été bien en peine de vous dire ce qu'il y avait de si attirant chez elle, car elle n'avait pas de formes à proprement parler. Sa poitrine étant à peine acceptable pour une jeune fille de son âge. Il vous aurais dit que son mètre cinquante huit la rendait adorable, que son attitude la rendait attachante...

La quatrième fois qu'il l'avait rencontrée, ce n'était pas au détour d'un couloir, ce n'était pas non plus aux alentours de quatre heures de l'après midi ni même aux environs de la grande place. Non, c'était plutôt dans la bibliothèque de l'école. Ils étaient assis en face l'un de l'autre et il avait pus constater que ses yeux de rêves étaient moins bridés que la moyenne en vigueur. Ses lèvres fines un peu trop roses peu être. D'un air concentré, elle avait remonté sur son nez ses lunettes rectangulaires. Elle ne les portait que pour lire. Et il l'avait trouvée adorable. Elle avait resserrer ses couettes d'un air concentré. Il avait senti son parfum. Fraise et cerise. Fruits des bois.. ? Quelque chose de sucré. Quelque chose de doux qui traduisait si bien la candeur qu'il pouvait lui voir. Sa voix mélodieuse et claire c'était infiltrer dans ses oreilles. Lui il s'était concentré sur la mélodie produite par sa voix. Alors elle s'était répétée.

« _ Je...mon nom est Kentarô.. » et elle lui avait offert l'un de ses sourires éblouissants qui laissaient croire que le monde était simplement fabuleux. Madara était un ange et rien de ce qui était laid ne pouvait l'atteindre.







Les ballets Russes
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<Je suis née en Russie, à Saint-Pétersbourg, pendant la froide nuit que fut celle du vingt décembre cette année là. Il neigeait tellement que mon père à crus qu'on serait ensevelis par la dépression glacée qui tombée du ciel. Papa est Russe, mais il est né à Kiev, en Ukraine car c'est là que grand mère Petrouchka attendait désespérément que son mari rentre de son expédition. Grand-père était journaliste mais il à disparu dans les montagnes un beau matin et on ne l'as jamais revu. Papa est rentré en Russie à ses quatre ans et n'as dès lors quasiment plus quitté sa terre natale. C'est à Moscou qu'il à rencontré maman.

Ma mère était la plus belle femme de Russie, avec ses yeux noirs profond, bridés et ses longs cheveux d'encre. Il n'y avait pas beaucoup d'étrangers au pays a cette époque. Elle était un oiseau tropical pour la bonne société du nord. C'est comme ça qu'elle à fasciné papa, mais c'est son talent qui l'à séduit. Maman était japonaise ; originaire de la toute petite ville de Kushiro à l'est d' Hokkaido. C'était une grande danseuse et son talent l'avait conduite dans la meilleure école du monde. À l'époque dont je parle, elle était la première étoile de l'Opéra de Moscou. Papa ,lui , n'était pas encore le directeur général de Roussanov-corporation mais l'un des plus jeune ministre de la culture que le pays ai jamais compté. Il avait trente deux ans, elle en avait vingt-deux. Un an après leur rencontre, ils se sont mariés et je suis venue au monde neuf mois plus tard.

A partir de là, je me souviens. Papa quitte son poste de ministre pour celui de membre du haut sénat l'année de mes trois ans. Maman recommence à danser celle de mes cinq ans. « une étoile est toujours une étoile » disait papa.
Maman parcoure le monde et papa ne quitte que très rarement son travail. C'est Angela qui me garde. Elle est blonde, comme mon père. À la maison, on me parle Russe mais Angie parle anglais. Je comprend, je répond en Russe. Angie s'inquiète par ce que je suis née avec les cheveux blancs, comme une albinos mais ils changent de couleur. Du jour au lendemain. Parfois blond comme elle, mais souvent longs et noirs : comme maman. Mon père dit que c'est un don, une bénédiction. Moi je m'en fiche, mais ça m'amuse.

Quand les concerts s'arrêtent, elle rentre à la maison. Papa est toujours heureux de voir Maman. Il l'enlace, la fait tournoyer sur elle -même, il l'embrasse et je suis jalouse. Il l'appelle « Kiseki ». ça veux dire miracle, il lui parle en japonais. Maman est son miracle et je veux bien le croire : ma mère est fabuleuse, c'est une fée, c'est un ange. À moi, on me parle rarement japonais à part maman. Quand elle me parle dans sa langue natale je répond dans celle-ci. Quand papa le fait je ne répond pas. Sinon en Russe. Je n'aime pas que Papa me parle japonais : quand il le fait j'ai l'impression qu'il me vole ma mère.
Elle l'appelle Vassily et lui parfois il l'appelle Hana. se sont leurs noms. C'est comme ça que tout le monde les appelle. Tout le monde sauf moi.
C'est Maman qui à choisis mon nom. Madara comme son grand-père à elle. C'est lui qui l'as encouragé à devenir danseuse. Madara par ce que c'est un prénom rare et qu'il transporte en lui la force et le courage. Maman et Papa m'aiment, mais ils n'auront jamais d'autre enfants. Je suis une petite fille tétue, ma mère dis que je suis une future Diva ; je ne sais pas ce que ça veux dire, mais ça fait rire papa alors je suis heureuse et je ris aussi.

~♠~

J'ai huit ans. Je suis assise coté fenêtre dans le wagon présidentiel du Transsibérien. Dehors il neige. Comme d'habitude, mais ça m'émerveille encore. J'ai le cœur à vif : on vas voir ma mère pour son tout dernier ballet. Elle est toujours étoile, et son succès est intacte, en France on ne parle que d'elle. Alors je pense à mon pays. C'est la Russie qui à élevé maman au rang de star, alors je suis reconnaissante. Je souris un peu bêtement sans doute par ce que mon père me reprend sur ma tenue incorrecte. J'aimerai répliquer qu'il n'y as que lui et moi ici mais je ne le fait pas. Je me cale au fond de mon siège et je m'endors. C'est un beau jour pour déménager. Nous quittons Saint-Pétersbourg pour longtemps, pour toujours.

Vassily n'est plus membre du gouvernement, les dictatures l'essoufflent et c'est un homme de pouvoir. Il supporte mal la contrainte. Je suis encore jeune, mais j'ai bien compris ce trait de caractère prépondérant chez lui. Angéla dis que je suis pareille. Et elle à sans doutes raison. Un peu avant le déménagement, elle m'avait punie, me demandant formellement de rester dans ma chambre. Je n'avait fondamentalement pas la moindre raison de sortir : il faisait bien trop froid. Mais elle m'avait donné un ordre au quel je n'entendais pas obéir. En ça je suis comme ma mère : je n'ai jamais toléré l'enfermement. Alors j'ai ouvert la fenêtre et je suis grimpée sur le toit. Angela était furieuse. Papa n'as pas ris et maman elle, à simplement dit que je ne devais plus jamais faire ça. Tu parles que je le referais ! Je dois sourire dans mon sommeil par ce que j’entends mon père ricaner. Angie est du voyage et ça me rassure. J'aime papa et maman mais elle est je pense le seule valeur sure de mon univers. Leur absence fait de moi une enfant fragile dit-elle. Je n'en ai pas l'impression mais je sais que Hana, culpabilise beaucoup.

Parfois elle pleure elle dit qu'elle n'as pas fait un enfant pour ne jamais le voir. Que ce n'est pas pour ça qu'elle est devenue mère. Elle n'as pas l'air de comprendre que je m'en fiche. Tant qu'elle rigole avec moi, je suis heureuse. Mon père par contre l'a bien intégré et il m'enlace, il me dit que je suis une bonne fille, que je suis sage. Il m'appelle « sokrovishche » ça veux dire trésor en Russe. Quand je l'écoute je suis la petite fille la plus belle, la plus intelligente et la plus aimée de tout le pays. Je sais qu'il a raison pour au moins un des points : il n'est pas un seul père au monde qui aime plus sa fille unique que le mien. Roussano-Corporation est née. Une entreprise à la pointe de la technologie qui se centre sur le hight-tech. Les meilleurs ingénieurs de Russie, de Chine et du Japons travaillent à la création de programmes de défense territoriales. Papa est un homme riche, influent et important.

Nous nous installons à Moscou. Aussi loin que je me souvienne j'ai toujours aimé Moscou. La ville des étoiles. Il traînait dans l'air de Saint-Pétersbourg un relent de guerre et de révolution qui écrasaient les âmes et brimaient les Êtres, ce n'était pas le cas ici. L'air glacial de l'hiver gelait encore mes poumons. Je savais désormais que le mot « Diva » s'accordait tant à mon caractère sauvage et borné qu'à la jolie voix que je possédait. C'est donc d'un accord tacite passé entre tout les membre de ma famille-sauf moi- et la directrice de l'Opéra ou ma mère dansait que j'ai intégré cette année là les chœurs de L’Opéra de Moscou. un truc clinquant avec des enfants de riches. J'ai vite compris la différence entre eux et moi. Contrairement à eu j'avais établis la barrière qui me séparait de mes parents. J'étais née riche dans une famille de Riche, j'étais donc virtuellement riche. Rien de ce que pouvait posséder mes parents ne remplacerai jamais la chaleur de notre foyer. Eux, ils ne savent pas. C'est pas de leur faute, a dit Angie. Leur parents son encore moins présent que les tiens. leurs parents ne les aiment pas comme les tiens t'aiment elle c'est retenue de dire. Mais moi j'avais compris.

Mes débuts en temps que choriste ne furent pas désastreux. Bien loin de la. Rien qui ne laissât présager ce qu'il se produirait le soir du concert en l'honneur de la fondation de l'école de chant.
Je me souviens.
La salle est immense. Papa et maman sont au premier rang. Je suis confiante. Sans doute par ce que j'ai ça dans le sang. Sans doute que j'ai fini par y croire à force d'entendre maman me le répéter. Mes yeux se fixent sur Anikha, l'autre soliste. Depuis mon arrivée en début d'année, cette fille me déteste et je crois qu'il n'existe pas un seul mot au monde pour décrire toute l'antipathie qu'elle m'inspire. Elle me jette un regard mauvais. Je lui souris. Je sent que ça monte en moi et au moment ou le concert débute, je sais que ça finira mal. Ce n'est pas quelque chose que je peu expliquer, mais je remarque immédiatement que quelque chose cloche:ma voix. Elle est différente. Je ne sais pas en quoi elle l'est mais elle n'est pas celle que je me connais. Trop velouté sans doute. Je rive mes yeux vers Anikha et je peu presque voir les vibration pénétrer lentement ses oreilles. Je regarde la salle. Maman se bouche les oreilles. Anikha s'écroule, des gens hurlent. Je suis debout. J'ai peur. Je comprend lentement ce que j'ai fait. Ma mère se reprend elle me fait un signe du pouce. J'ai peur. Je pleure.

~♠~

« _Ania ! Ania ! » je ne répond pas. Ce n'est pas que je n'aime pas sarah. Mais parfois elle m'agace. Elle m'agace quand elle pense que je dois tout faire comme elle, elle m'agace quand elle me dit que je ne devrait pas être aussi expansive et elle m'agace quand elle dit que je ne dois pas être amie avec Rupert. Rupert est différent de nous. Déjà il est allemand pas Russe et ensuite, sa vie n'as pas été aussi simple que celle de Sarah ou la mienne. Sarah n'est pas exactement une fille riche, mais elle n'as jamais manqué de rien, elle à passé un test très dur pour entrer dans l'école mais n'as pas été reçue dans la classe élite. Rupert est boursier dans notre école il a été renvoyé trois fois mais lui il a réussi le test. Il fait partie de l'élite de l'établissement et ça, Sarah ne peu pas le supporter.

Lui et moi on est cachés dans le recoins de l'escalier et on attend qu'elle parte. Elle vas forcément s'en aller, au bout d'un moment. Elle se lasse vite. Rupert est comme moi dans le sens ou il possède un certain nombre de dons un peu particuliers. Lui il ne voulait pas être mon ami, mais je me suis sentie vraiment normale a ses côtés, alors j'ai décidé que je le serait quand même et il à été forcé d'accepter. J'ai quatorze ans. Le temps passe vite. J'ai l'impression que tout passe à une allure folle, tout. Que je reste coincée à une époque mais que le temps continue de filer sans m'attendre. Je suis en décalage permanent. Je me souviens. Sarah s'en vas et nous regagnons la cour. Rupert aime le soleil, moi j'adore la neige. On se dispute souvent mais je crois pouvoir affirmer que je l'adore. Je n'ai depuis l'incident d'il y a six ans plus jamais chanter en publique. J'évite. Je sais pourtant que ce qui c'est produit n'as lieux que si je le désire mais j'ai juste peur : Anikha n'as plus jamais été la même après. Son cerveau a subits de grave lésions. Elle n'arrive plus à réfléchir correctement : dans sa tête elle ne sera jamais adulte.

Mes cheveux et mes yeux gardent en principe leur couleur d'origine. Blanc et rouge. Neutre comme jamais, j'ai tendance à les laisser rosir comme ils le veulent. Par ce que ça déplait au proviseur, par ce que ça déplaît aux professeurs et surtout par ce que ça fait rire mon père et ma mère. Je suis une fille discrète, mais j'ai vite compris que le fait de ne pas être dans la norme me plais. Je n'aime pas ce que la Russie tente de faire de nous, la jeunesse. Un être uniforme et inculte. Mon collège est particulier. La classe élite à accès a tout le savoir qu'elle désire : ailleurs c'est différent.

Rupert dis qu'il vas s'enfuir. Il ne veux pas être lobotomiser. Je ne veux pas non plus mais je sais que je suis de ceux auxquels on imposera jamais rien. Papa est bien trop important pour ça et maman bien trop célèbre. Hana n'est plus une étoile. Elle à stoppé sa carrière, elle apprend désormais ce qu'elle sait aux futures étoiles de l'Opéra et tout le monde bois ses paroles tant elles sont teintés de passion et de vérité.

C'est cette année là que je me rend compte que je suis enfin de compte bien loin de la normalité.
« _ l'eau ! Comment as-tu fait ?
_ Je ne sais pas. C'est arrivé, c'est tout. » et a vrais dire je ne peu rien dire de plus. J'ai geler une flaque d'eau en plein été. Je reste perplexe. En fait, je pense que j'ai plus ou moins compris comment j'ai fait. Ça viens naturellement, vous savez ? Comme si c'était juste normal. Je pense d'ailleurs que ça l'est. Si c'est inexplicable, alors c'est que ça devais arriver. Je regarde l'eau a nouveau et je songe qu'il fait chaud et qu'il ne devrais pas y avoir de glace à cette saison et par cette chaleur. Il fait trente-six degrés. Une année à Saint-Pétersbourg il a fait quarante. La Russie n'est pas toujours froide. Ma peau blanche me brûle. L'eau qui s'était congelée commence à bouillir. Je sursaute et je part. Je cours. Toujours plus vite.

Angie s'inquiète elle dis que c'est de la magie noire. Papa dit que c'est le sang sacré des Roumanov qui coule dans mes veines. Ils étaient nos cousins d'après grand-mère. Moi j'ai peur. J'ai peur de moi, de ce que je peux faire. J'ai peur de comprendre ce que je suis. Maman est enchanté, elle me parle du Japon, elle me parle des Prêtresses de différents dieux, de L'onmyo elle me parle des divinités terrestre. Elle pense que je suis un enfant dieu. Je crois que je suis une sorcière. J'en viens à me détester. J'ai vraiment peur.

Avec le temps j'arrive a faire bouillir ou geler des fruits depuis l'intérieur. Je m'arrête et je me prostre dans ma chambre. Vassily ne comprend pas tout ce que cela implique, ma mère veux savoir.
« _ou sont les limites ?
_ Il n'y en as pas je crois...je...je suis sure que si j'essayais je pourrais le faire sur un humain[i]. » je ne dis pas que je trouve ça atroce. À la place je pleure. Je suis un monstre, une sorcière, [i]un démon...je n'en sais rien mais je suis sure que je suis mauvaise.

~♠~

« _Chto vy dumayete ? » (a quoi tu penses?) demande mon père en me regardant.
« _YA ne znayu, yesli ya budu schastlivym ili grustnym » (je ne sais pas si je suis heureuse ou triste)

Il caresse mes cheveux et maman ris. Nous avons quitté la Russie. Papa a toujours voulut voir le pays de maman et moi aussi. Je ne suis jamais allée au Japon. La famille de Maman nous rendait visite le contraire n'as jamais eu lieux. Je me sens vivre. Je découvre mes racines. L'air qui s'engouffre dans mes poumons n'est pas glacé bien que se soit l'hiver et qu'il neige. Il doit faire moins six degrés dehors. Il faisait moins vingts quand nous avons quitté Moscou. Papa à installer le bureau général de Roussanov Corporation à Tokyo même. Maman vas enseigner la danse dans une excellente école, mais moi je ne reste pas dans le Kantô. Je reste au Japon, mais je vais plus loin. C'est en partie ce qui à motivé mes parents à quitter la Russie : Densetsu-Tekina Senso . C'est un internat qui recueille des enfant comme moi. Une école pour ces adolescents dotés de pouvoir étonnants. J'ai récemment compris que j'avais besoins de fréquenter des gens comme moi. Je suis dangereuse, c'est un fait. Même si je n'ai pas la moindre intention de faire du mal à qui que se soit. Je me dis que si je dérape dans cette école les autres seront en mesure de se défendre. Sarah elle serait bien en peine de me maîtriser si je causais des problèmes. Je pense encore à Anikha. J'ai seize ans et je suis souvent allée voir cette fille que j'ai sévèrement handicapée. Je garde sur moi, dans un médaillon de cette fille. Je ne veux pas oublier le mal que je suis capable de faire. Je me sent comme le diable en personne.

Je me sens euphorique. Le Japon m'ouvre ses portes et j'ai l'impression de prendre un nouveau souffle quelque chose de formidable. Je suis Japonaise ; au moins autant que je suis Russe. Je m'inquiète cependant. Je parle parfaitement bien japonais mais j'ai clairement un accent slave. Je suis native et étrangère. Une nouvelle attraction. À cette époque j'ai Seize ans. J'ai peur de ces autres que je vais rencontrer, pourtant je sens déjà pour eux une profonde affection. Je suis des leurs.

Quand j'intègre l'école cette année là, je ne m'attend pas à la guerre qui sévit. Je suis affolée par la violence et la rage. Je rencontre d'autres élèves, j’apprends le système des clans. Je me sent trahie. Déchirée.
J'aime Hajime, J'aime Sora. Hajime est un Hell, Sora une Heaven. Très vite on me dit que je dois choisir, je refuse de me positionner. J'ère. Je me dispute violemment avec Haji et Sora.

C'est comme ça que je rencontre Kazuki. Kazuki est différent. Il est différent par ce que sa première approche n'est pas celle de quelqu'un qui veux m'enrôler. Kazuki est gentil. Personne n'as vraiment l'air de le craindre, je suis sure pourtant qu'il pourrait faire beaucoup de mal. Comme nous tous ici. Un jour il me parle du clan qu'il dirige. Il me parle de ses buts, il me parle de son rêve de bon entente. Je l'écoute. C'est plus fort que moi : quand il parle je me sent obligée de l'écouter jusqu'au bout.

Je ne me souviens plus d'à quel moment j'ai décidé de le suivre. Mais je l'ai fait. c'est a peu près a ce moment que j'ai sus pour le dernier dons que je possède. c'est celui que je trouve le moins embarrassant. le plus beau aussi...le charme par les fleurs J'ai dix-sept ans et si mes calculs sont exacts, ça fait déjà un an que je porte le bracelet à la feuille. J'ai intégré les defender Estate de mon plein gré. Comme aujourd'hui, je me repasse souvent les événement dans ma tête et je me demande s'il aurai pus en être autrement et j'en viens à la conclusion que non. Je n'ai pas d'explication logique à tout cela. Si je n'en trouve pas, c'est que ça devait arriver. >

Elle referma le carnet. Rouge comme ses yeux, le glissa dans le tiroir de son bureau et quitta sa chambre. Elle quitta les dortoirs et avec un rire amical s'accrocha au bras d'un jeune garçon blond. Kentaro de son prénom. Solitaire de sa fonction. Madara aimait bien Kentaro.










Pouvoirs
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隠蔽-Inpei : Par la présente Madara arrive à faire varier la longueur et la couleur de ses cheveux, (parfois de ses yeux lorsqu'elle arrive à se concentrer suffisamment)elle peu ainsi se faire passer pour une autre personne et , qui sais...espionner les camps adverses ?

天使の声- tenshi no koe : C'est une déflagration vocale, lorsqu'elle active son pouvoir, sa voix deviens absolument insuportable et peu aller jusq'à paralyser l'auditoire et laisser des séquelles cérébrales.(ceci dit l'utilisation trop longue la rend aphone) ceci dit en apparence il s'agit d'un simple chant, c'est son impact sur le cerveau qui est désastreux.

水の精霊- Mizu no serei : Cette capacité permet à la jeune fille de faire congeler ou bouillir l'eau sous toutes ses formes. (avec de l’entraînement, elle peu même faire bouillir le corps humain qui est constitué à 80 % d'eau)

Цветы-Tsvety : ce mot Russe signifie "fleur" et il est nécessaire à l'incantation. à partir du moment ou elle l'as prononcé elle se met à fredonner des petites chansons. savoix fait danser des pétales et ces derniers hypnotisent ceux qui ont le malheur d'être visés. le charme opére tant que Madara fredonne sa chanson. la destruction des pétales par le feux, atteint son corps et la brûle elle aussi.








Il était une fois...
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Dernière édition par Madara A. Roussanov le Ven 12 Oct - 17:50, édité 31 fois
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Lyo Moon

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MessageSujet: Re: Chroniques à mi-mots pour une enfant tout de rire et de sucre   Chroniques à mi-mots pour une enfant tout de rire et de sucre Icon_minitimeDim 30 Sep - 18:08

Bienvenue ^^ Bon courage pour la suite de ta fiche !!!
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Madara A. Roussanov

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MessageSujet: Re: Chroniques à mi-mots pour une enfant tout de rire et de sucre   Chroniques à mi-mots pour une enfant tout de rire et de sucre Icon_minitimeDim 30 Sep - 19:02

Je te remercie, Miss <3
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MessageSujet: Re: Chroniques à mi-mots pour une enfant tout de rire et de sucre   Chroniques à mi-mots pour une enfant tout de rire et de sucre Icon_minitimeLun 1 Oct - 11:15

Yop, yop.. Je tiens à te rappeler de te relire dans ta description mentale car même si ça ne correspond pas vraiment au caractère de Kazu, je peux laisser passer tout sauf certains aspects. *n'a pas les cheveux verts et tiens à ce que ce point au moins soit rectifié.* Ouais je sais, c'est rien mais c'est pas grave....
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MessageSujet: Re: Chroniques à mi-mots pour une enfant tout de rire et de sucre   Chroniques à mi-mots pour une enfant tout de rire et de sucre Icon_minitimeLun 1 Oct - 15:06

Hey, bienvenue Madara ! *^*

Tout (tout) est bien (bien) pour l'instant (instant), je te laisse continuer (continuer) pour la suite, bon courage :3

(T'es un ornithorynque ?! O.o Nannnnnnnnn, pas possibleeeee ! .__.)
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MessageSujet: Re: Chroniques à mi-mots pour une enfant tout de rire et de sucre   Chroniques à mi-mots pour une enfant tout de rire et de sucre Icon_minitimeMer 3 Oct - 12:40

Juste un Up pour dire que j'ai (enfin) fini <3
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Ruby Regaina

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MessageSujet: Re: Chroniques à mi-mots pour une enfant tout de rire et de sucre   Chroniques à mi-mots pour une enfant tout de rire et de sucre Icon_minitimeMer 3 Oct - 13:01

Parfait mademoiselle l'ornithorynque o/ Validay, je te mets de ce pas dans ton groupe :3
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MessageSujet: Re: Chroniques à mi-mots pour une enfant tout de rire et de sucre   Chroniques à mi-mots pour une enfant tout de rire et de sucre Icon_minitime

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